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Moussa Diaw politologue : «Si personne ne s’oppose à Macky, il pourrait se représenter en
 2024»

POLITIQUE
Jeudi 18 Avril 2019

Pour l’enseignant chercheur, en politique, tout est possible. Raison pour laquelle, il est d’avis que Macky veut évacuer très tôt ce problème en disant qu’il ne veut plus en parler. Mais, s’il subit une pression il pourrait se présenter une nouvelle fois en 2024. Parce que rien ne l’empêche, pense-t-il, de le faire tout en sachant que le Conseil Constitutionnel va valider sa candidature s’il la déposait. «Ce, du fait qu’on a dit que les 7 ans qu’il vient de boucler ne sont pas concernés. Ce 5 ans serait son premier mandat. Pour l’instant, il peut évacuer la question. Mais, il peut y avoir une évolution politique. Il y a des pressions. Et si jamais il veut partir, il y a des proches qui l’entourent et qui ne voudraient pas qu’il les lâche. En politique, c’est juste des situations à saisir. Donc, la porte n’est pas totalement fermée. Si personne ne s’oppose à lui, il pourrait se représenter en 2024. Parce que s’il n’avait aucune autre motivation derrière la tête, il n’allait pas s’attarder sur toutes ses réformes notamment avec la suppression du poste du Premier ministre», prévient le Pr Moussa Diaw.

Des propos confirmés par le journaliste Ibrahima Bakhoum qui ne serait pas du tout surpris si Macky Sall décidait de se représenter en 2024. Et de développer son argumentation: «Vous savez, il y a des choses qu’on ne dit pas. Lui, Macky Sall, depuis 2012, quand il disait aux gens que je ferai 5ans, il savait déjà qu’il était en situation de faire 7 ans. Donc, aujourd’hui, la loi telle quelle est écrite, et ce sont des juristes qui l’ont dit, lui donne l’opportunité de se représenter en 2024. Parce qu’il n’y a pas de rétroactivité. Et s’il n’y a pas de rétroactivité, il pourrait encore briguer un autre mandat. Le mandat s’appelle 5 ans. On n’a pas dit séjour. On a dit mandat. Si on avait dit séjour à la tête du pays, les 7ans en feraient partie.»
 

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